Qui sommes-nous
Points-Cœur est une ONG internationale présente en Suisse depuis 1996, ayant un statut consultatif à l’ONU, active dans 18 pays sur 4 continents.
Il y a actuellement 21 maisons Points-Cœur dans 18 pays.
Ce sont des petits foyers d’accueil de jour au cœur d’un quartier défavorisé.
Dans chacune de ces maisons vivent 4 à 6 volontaires qui accueillent et visitent quotidiennement leurs voisins et les personnes les plus souffrantes.
Les volontaires assurent une veille dans leur quartier.
Ils se rendent disponibles aux personnes les plus isolées.
Par leurs visites, ils tentent de rejoindre ceux que la spirale de l’exclusion a profondément marginalisés. Ils assurent un service semblable dans les lieux de grande souffrance : hôpitaux, prisons, orphelinats, maisons de retraite, monde de la rue.
Nous sommes présents
À l’ONU, en Argentine, en Équateur, au Pérou, en France, en Italie, aux Philippines, en Thaïlande, en Roumanie, en Inde, au Sénégal, au Salvador, au Honduras, au Chili, au Japon, à Cuba, au Costa Rica, en Uruguay, en Grèce.
à l’ONU
Point Cœur à l'ONU, siège européen à Genève
Depuis 2005, l’Association Points-Cœur Suisse est dotée, en tant qu’ONG, d’un statut consultatif spécial au sein du Conseil Economique et Social des Nations-Unies.
Grâce à son travail en faveur de la dignité humaine et sa participation aux Objectifs du Millénaire pour le développement (« réduction de l’extrême pauvreté » et « éducation primaire pour tous »), Points-Cœur prend part au système international de défense des droits humains.
En s’appuyant sur l’expérience de ses volontaires ainsi que sur la vie des amis de nos quartiers, elle se joint aux débats relatifs aux droits de l’Homme dans les différents Conseils.
« Rosa, ce petit bout de femme a juste besoin de rire, d‘oublier les soucis et la fatigue du quotidien. Elle aime passer chez nous pour boire un café après des dures journées de travail, et d‘heures passées à attendre le bus. Elle travaille très dur pour vivre et nourrir ses deux fils qu‘elle élève seule. Leur père a été assassiné quand ils étaient bébés, et l‘absence d‘un père laisse une plaie ouverte, une peur chez ces jeunes, comme quelque chose d‘indispensable auquel ils n‘ont jamais eu droit. »